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The Nothing

First Lieutenant
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May 1, 2015
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Bonjour à la communauté francophone de HoI3. Ceci est mon premier AAR, j'ai eût envie de me lancer dans cette pratique en en lisant certains sur ce forum. Il me donne aussi l'occasion de réaliser un petit challenge personnel. Vaincre l'Allemagne avec la France ? Fait. La vaincre en 46 ? Fait. La vaincre en 43 ? Fait. La vaincre sans intervention russe ? Aaaah challenge intéressant ! Mais des gens l'ont déjà fait. Vaincre l'allemagne sans ligne Maginot ? Ça c'est un truc qui me tente. Le tout sera raconté avec un brin d'historique, qui fera peut être hurler de haine les afficionados d'histoire, promis je corrigerai les incohérences. Mais n'oublions pas que tout ceci est uchronique. Par ailleurs toute ressemblance avec des faits réels ou fictif serait tout à fait fortuite.


1er chapitre : contexte uchronique, et début de l'histoire 1936-1937


La nuit du 24 janvier 1930 marqua un tournant important dans l'histoire de la France. Un vent de désordre balaya le pays tout entier, lorsque la nouvelle se répandit. André Maginot, ministre de la guerre respecté, avait trouvé la mort dans les bras d'une prostituée... Pire ! D'une prostituée des colonies. Il était impensable pour le parti d'étouffer l'affaire. Le scandale frappa le gouvernement avec la force d'une déferlante, l'ébranlant jusque dans ses tréfonds.



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Merci beaucoup monsieur le ministre ! Vieux cochon !

Il ne pouvait pas tomber plus mal, car la semaine suivante, un officier prometteur du nom de De Gaulle, tint une conférence à l'école militaire de Saint Cyr portant sur la guerre moderne. Dans le contexte actuel, il dénonça au passage le manque de clairvoyance du projet de fortification de la frontière franco-allemande, assurant que "la puissance industrielle française serait mieux employée à concevoir des armes capable de porter la guerre au cœur de l'industrie adverse, plutôt qu'à bâtir des fortifications à l'efficacité douteuse". Du moins c'est ainsi que le retranscrira un journaliste quelques jours plus tard.

La popularité du parti étant en berne, et André Maginot disparu, lorsque vint un mois plus tard le temps de voter une extension de budget pour la ligne de fortifications, le vote se solda par un refus à quatre voix près. Le gouvernement Tardieu créa alors une nouvelle commission chargée d'étudier la défense du territoire. Le maréchal Pétain y fut invité à titre de consultant militaire. Au cours des délibérations, celui-ci prit le parti d'une défense statique légère, et d'une armée mobile forte, souhaitant sans doute profiter de l'impact médiatique de la conférence de De Gaulle. Les délibérations traînèrent, mais finalement, le commission accepta d'allouer du budget à une restructuration massive de l'armée, et à la construction de première ligne de défenses légères. Le but de ces défenses serait alors selon les termes du maréchal "un moyen de ralentir tout envahisseur suffisamment longtemps pour permettre à nos armées de se rassembler, et de préparer une contre offensive efficace."

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Le vieux renard prend le parti du jeune lion, espérant sans doute en tirer une part du prestige.
Avec ce budget, le ministère de la guerre réformé commanda plusieurs projets d'armements aux industriels français, entre autre un prototype de char de moins de 30 tonnes au blindage robuste et capable de franchir des obstacles de plus de 80cm et des dénivelés d'au moins 10°. Sa maniabilité devrait lui permettre de combattre y comprit sur les terrains les plus complexes du Nord Est français. Fût également commandé un prototype de char léger de contre attaque, de moins de 15 tonnes, à l'équipage minimal. Ces chars à grande rapidité, devaient servir au soutien d'unités mobiles. Enfin, le ministère abandonna le projet de char d'arrêt FCM F1, jugé trop pesant pour être employé efficacement. Il commanda à la place un prototype de char de 50 tonnes capable de soutenir le rythme de chars plus légers.


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-Oups ! Marcel faut faire demi tour j'ai oublié une pièce au hangar.
-On va devoir faire sans Roger, tu sais bien qu'on peut pas utiliser deux fois le même pont avec notre engin.

La situation politique française ne se stabilisa pas pendant les années qui suivirent, mais chaque gouvernement pour tenter de s'assurer les faveurs du peuple, continua la réforme de l'armée démarrée en 1930. En 1932, le ministère de la marine obtint les fonds pour convertir les trois cuirassés de classe Bretagne, et un cuirassé de classe Courbet, en porte avion. Le but initial de l'opération était de permettre une domination aérienne global et mobile, cependant la capacité de transport assez faible de ces appareils terminés de construire en 1934 ne leur permettra pas de remplir ces objectifs. Ils seront améliorés avec de l'équipement moderne en 1936, et dotés de chasseurs bombardiers Dewoitine 520 tout juste sortis des usines en 1937.

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Le dixmude, premier des porte avions de la marine française améliorés.

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Escadrille de Dewoitine D520 avant l'adjonction de bombes pour en faire un chasseur bombardier efficace.

Début 1936, la politique d'armement française a porte ses fruits, en lieu et place d'une armée désuète se protégeant derrière une ligne de béton, la France est dotée d'une force terrestre d'une taille impressionnante. Celle-ci est déployée selon un schéma de défense élastique, comme le montrent ces cartes d'état major. On remarquera sur ces cartes, que selon les plans de restructuration seuls des défenses minimalistes sont prévues, entre autre en Wissembourg et en Sarreguemine, là où le terrain est le plus propice à une invasion rapide.

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La France s'est également dotée de 13 régiments d'infanterie de marines (RIMA) stationnés à Brest, Le Havre, et Saigon, pour assurer une force d'intervention rapide dans le vaste empire colonial. Enfin, cette carte d'état major ne montre pas le renforcement des unités de chasseurs alpins, car pas moins de 120 000 hommes sont désormais affectés à la défense des Alpes, et équipés en conséquence. Ces forces spécialisées, et la modernité de ses troupes font de la France en 1936 une des premières, si ce n'est même la première puissance militaire d'Europe.

Pour autant, si le réarmement du pays a mobilisé l'industrie, ce dernier s'est fait plus lent que prévu. L'industrie française apparaît de plus en plus faible par rapport à celle de ses proches voisins. Aussi, lorsque le front populaire après les grandes manifestations de mai-juin 1936 prend la tête de l'état, il est décidé de relancer l'industrie en investissant massivement dans la construction de nouvelles usines. Chaque année à partir de 1936, en raison de la pression montante des gouvernements fascistes avoisinants, la France ne cessera d'augmenter les subventions aux entrepreneurs, et principalement dans le domaine de l'industrie lourde.

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Les premières usines financées ainsi ouvriront leurs porte en 1937, en même temps qu'éclatera la guerre civile Espagnole. La France n'interviendra cependant pas, au grand dam d'officiers supérieurs désireux d'éprouver les capacités du nouveau matériel.

Tandis que le son des armes résonne au sud du pays, une autre guerre a lieu, en secret, ignorée de pratiquement tous. De plus en plus inquiet de la montée du fascisme dans les états limitrophse, Albert Lebrun accorde à Daladier, alors ministre de la défense les pleins pouvoirs pour limiter la puissance politique des partis radicaux dans ces pays. Avec un budget de 400 millions de franc alloués à la surveillance et aux opération dans les états limitrophes, les services secrets français parviennent très vite à décimer à désorganiser grandement le Sicherheitsdienst du Reich, et les agents de Mussolini.

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Une occasion se présentera même en 1937 de faire assassiner le chancelier Adolf Hitler. Cependant Daladier refusera de cautionner le meurtre du dirigeant d'un pays voisin. Son geste de prime abord discutable, eût pour conséquence heureuse de laisser au pouvoir un homme fou, qui à partir de 1943 conduira l'Allemagne à sa perte par ses ordres incohérents et sa paranoïa constante. -Source discutable, anecdote amusante-








C'est tout pour ce soir sur la partie historique. Petite explication en terme de jeux. J'utilise l'option scénario personnalisé en démarrant en 1936. J'ai supprimé l'ensemble des flottes françaises pour n'en garde que deux, constituées de deux porte avions et six croiseurs légers chacune, ainsi que trois flottes respectivement de 4, 4 et 3 flottes de débarquement. La destruction de la ligne maginot me rapporte 66 000 IC-day, ce qui représente plus que l'armée française terrestre dans le scénario de 1936 non personnalisé (elle y représente 44 000 IC-day), sa destruction me permet de créer ces flottes sans trop en pâtir, et également d'améliorer la capacité industrielle française d'environ 15 unités d'entrée de jeu.

J'ai ensuite axé la défense de la France sur trois points. 1) la défense en alsace lorraine avec un mélange d'unités 2*Inf, 1*Art, 1*Anti char, 2*Inf 1*Art 1*Ing, et d'unité 2*Mot, 1* Art Mot, 1* Anti char Mot. 2) Des unités de contre attaques, des unités blindés de 1*Arm Lég, 2*Mot, 1*Art Mot, et des unités de 1*Arm, 1*Mot, 1*Art Mot, 1*Anti char Mot 3) des unités spécialisées pour la montagne/les opérations amphibies, 1*Chasseurs alpin, 2*Inf Mont, 1*Art, ou 2*Inf Mont, 1* Art, 1*Ing, et 2*Inf Mont, 1*Art, 1*Anti char, et pour l'amphibie, 3*Inf Mar, 1*Ing, ou 2*Inf, 1*Art, 1*Anti char.

Pour économiser un maximum de capacité industrielle, la France s'orientera sur les avions légers dans cette partie, avec une flotte de chasseurs multi roles, à mon sens plus solides. J'ai remarqué dans mes parties précédentes que mes intercepteurs résistaient assez mal aux combats, j'ai préféré la solidité à la puissance de feu cette fois. Je ne suis pas convaincu par l'efficacité des bombardiers en piqué, qui il me semble font peu de dommage à l'organisation (le plus efficace selon moi) mais malgré tout je sais qu'ils font des dommages, c'est un ajout intéressant d'attaques anti char pour contrer les panzer division, et ils sont peu chers. Je souhaite avec une telle flotte aérienne voler la supériorité des airs à la Luftswaffe qui devra à la fois gérer mes chasseurs, les bombardiers stratégiques anglais, et mes frappes terrestres.
 
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Bienvenue, The Nothing! Je vais suivre ton AAR avec intérêt! Par contre, pas de commentaire gameplay, je ne connais pas assez le jeu. :p
 
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Je t'avoue que j'en ai absolument aucune idée ! Je suis pas encore assez loin dans la campagne pour le savoir. Par contre ce que je peux t'affirmer, c'est que d'avoir une main d'oeuvre très faible car je dois créer plein d'unités pour contrebalancer l'absence de ligne maginot, les leaders allemands surpuissants, et le bonus de la Blitzkrieg qui va me frapper de plein fouet car pas de ligne de défense imprenable pour l'encaisser ça ne m'aide pas.

Dans l'idée, je trouvais plus intéressant d'essayer pour une fois une France très offensive plutôt qu'une France défensive. J'ai déjà gagné deux parties en jouant défensivement, et c'était un peu nul, je jouais en vitesse 5 en permanence car les allemands attaquaient pas. Ils essayaient même pas d'attaquer ils savaient que devant toutes les troupes que j'avais et avec tous les bonus de terrain présent ils allaient juste se faire tuer, sans réel intérêt.
 
Et puis l'intérêt de l'AAR c'est ce que tu en feras, que ce soit simple ou non. Même en ratant on peut raconter de belles histoires.

Alors, je vais suivre tout ça, mais ne t'attends pas à des commentaires sur le gameplay, la stratégie, ... La seule fois que j'ai lancé HoI III c'est pour vérifier qu'il fonctionnait, je n'ai jamais pris le temps de m'y lancer (à croire qu'il me fait peur). :)

Bon courage !
 
2ème chapitre : 1937 jusqu'au début de la seconde guerre mondiale.
Dés le premier trimestre 1937, la situation géopolitique globale semble empirer. Après le début des hostilités en Espagne, le spectre menaçant de la guerre plane à nouveau dans tous les esprits. Le gouvernement Lebrun décida de tirer parti de cette psychose. Par d'habiles campagnes de propagande, la France s'unit peu à peu derrière le gouvernement, persuadée que ce n'est que par l'union politique, que de nouvelles tragédies seront évitées. Un remaniement ministériel aida à faire passer plus facilement l'augmentation de la vitesse du réarmement du pays. Camille Chautemps, nouveau ministre de l'intérieur passa ainsi plusieurs réformes importantes. Grâce à lui, le pays serait sous peu capable de faire trembler les dictatures tout comme celles-ci effrayaient en ce jour les démocraties.

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Tandis que le pays s'industrialise de plus en plus fortement, les dites industries produisent par centaines des engins de morts qui se font un nom au delà même des frontières de la France. Les chasseurs Dewoitine D.520 entre autre, commandés par le ministère de l'air dés 1930, sont enfin produits massivement. Les dernières innovations en matière d'ingénierie aéronautique lui donnent une maniabilité incomparable, à tel point que 35 modèles sont commandés par le Royaume Unis, 23 par l'Afrique du Sud, 18 par le Canada, et, aussi étrange que celui puisse paraître, la France signa également un contrat offrant une licence pour la production de 15 appareils à la Bolivie.
deux
En parallèle, les rapports d'espionnages confirment à l'état major français ses pires craintes. L'intervention de la Légion Condor en Espagne prouve l'efficacité terrifiante des avions d'attaques en piqué Stukha, et confirme également que l'Allemagne possède des armes capable de transpercer aisément les blindages des véhicules légers tels que les chars D1. Le gouvernement commanda alors à la SA Marcel Bloch, dont il était très satisfait des travaux précédents, un prototype d'avion en piqué. Ainsi naquit le Bloch 101BEP. Initialement l'appareil était doté de deux bombes de 250 kg, et était équipé d'un unique canon mitrailleur de 35mm de tête. Ce modèle peu conventionnel impliquait du Bloch 101 qu'il effectuât de courtes missions, puis soit réapprovisionné.

En parallèle, pour contrer l'apparition de nouvelles armes anti char, l'armée commanda un modèle rapide et fiable d'appareils au constructeur Renault. Suite à plusieurs échecs, le R411, un char de combat d'un tout nouveau genre fût accepté par l'état major. Un célèbre colonel, dans les bonnes grâces de l'état major depuis peu, eût la chance de se voir attribuer ce tout nouveau matériel dés 1938. Le colonel De Gaulle approuva la nouvelle conception qui après quelques manœuvres s'avéra selon lui "aptes à des opérations de grandes envergures, [...] ils (ses équipements modernes) faciliteront grandement la coordination interarmées." Les R411 sont en effet les premiers chars français massivement dotés de systèmes de communication. Également désireux de ne pas reproduire les erreurs du Somua S35, le constructeur adaptera également la tourelle du char pour accueillir un artilleur en plus du chef de char. Enfin, son blindage incurvé promettait d'apporter à ce char particulièrement agile une robustesse dont manquaient ses prédécesseurs, et qui lui permettraient d'accompagner les assauts de l'infanterie motorisée.

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Au premier trimestre 1938, la guerre civile espagnole fait toujours rage, tandis que de l'autre côté du Rhin, les troupes de la Wehrmacht entrent en territoire autrichien, acclamé par la foule. Durant les heures qui suivent, un ordre de mobilisation générale est lancée, les réservistes rejoignent leurs casernes, les usines prévoient la production de munitions sur les prochains mois, et de premier trains de matériels sont acheminés vers la frontière franco-allemande.

Les services secrets font pression sur le ministère, selon leurs agents la France doit déclarer la guerre à l'Allemagne pour cette annexion de l'Autriche. Le moment ne pourrait pas être mieux choisi, l'Allemagne n'est pas prête à mener la guerre, son industrie est à peine à 75% de son régime, tandis que la France est presque entièrement prête ! Albert Lebrun hésite, et ses ministres aussi. Prôner une armée puissante pour assurer la défense du territoire est une chose, justifier une agression pour faire respecter le diktat de 1918 en est une autre. Après une réunion de crise au sommet, au cours de laquelle les officiers et les ministres débattent de l'entrée en guerre, la décision est prise de démobiliser l'armée et d'attendre. De fait, le Royaume-Uni avait fait savoir qu'il ne se joindrait pas à une telle entreprise. Aussi forte que fût la nouvelle armée française, la puissance démographique et industrielle allemande était terrifiante, la France avait besoin d'alliés pour mener une telle guerre.

Lors de l'annexion des sudètes le même dilemme se présente. Une fois de plus les alliés font la sourde oreille aux demandes de la Tchéchoslovaquie. La France, qui depuis 1930 entretenait la petite entente, entre la Yougoslavie, la Roumanie, et la Tchéchoslovaquie, est contrainte d'abandonner cet ancien allié. Daladier veille personnellement à signer un traité avec ses homologues anglais et allemand.

Daladier - "Ne vous inquiétez pas mon président, j'ai la signature du chancelier Hitler sur ce papier qui annonce qu'il n'annexera pas l'Autriche ! Il en a donné sa parole à Schuschnigg !" (Janvier 1938)

Daladier-"Tout va très bien monsieur le président ! J'ai maintenant un autre document du chancelier Hitler, il garantit qu'il se contentera d'annexer les sudètes mais qu'il ne touchera pas au reste de la Tchéchoslovaquie !" (Décembre 1938)

Daladier-"Mon président j'ai d'excellentes nouvelles. J'ai obtenu un nouveau traité de la part du chancelier suprême Hitler. Il affirme qu'il ne revendiquera plus aucune terre au nom de l'Allemagne après l'annexion de la Tchéchoslovaquie !" (Février 1939)


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La menace allemande est de plus en plus importante. En réponse, le QG de Paris déploie la puissante armée mobile de défense du Nord à la frontière franco-belge. Craignant une attaque de l'Allemagne tôt ou tard, le haut commandement souhaitait déployer une nouvelle force de frappe. La question était simplement : où ? Maurice Gamelin, encore chef de l'armée de terre en 1939, estima à juste titre que l'Allemagne emprunterait sans aucun doute la Belgique pour envahir la France, préférant les vastes terrains plats du nord, au réseau de rivières et de forêts de l'est. Cette formation imposante avait pour but de porter le combat en Belgique, loin du parc industriel français, pour intercepter une armée allemande. En fer de lance de cette armée, nous retrouvons le colonel De Gaulle, et sa division cuirassée équipée des tout nouveaux chars Somua S38, ainsi que le général Leclerc de Hauteclocque lui même à la tête d'une seconde division cuirassée.

Peu après un dernier remaniement ministériel a lieu. Marcel Déat devient ministre de l'air, et Joseph Paul Boncour ministre de la marine. Dans ce climat tendu, ils seront les derniers à occuper ces postes avant la guerre, et entameront chacun la préparation de leur secteur à une attaque. Marcel Déat entre autre, réorganiser l'armée de l'air pour la rendre complémentaire des forces terrestres. Il fait également mettre en place, sur conseil du général François d'Astier de la Vigerie un roulement des pilotes lors des entraînements. Certaines escadrilles seront entraînées au combat nocturnes, pour alléger la pression des équipes de jour dans les escadres défensives. Pour les groupes de bombardiers, les attaques au sol de nuit représentaient un avantage énorme, les allemands ne disposant pas de matériel adéquat à la détection d'appareils. Le grand projet de construction de systèmes RADAR en Alsace-Lorraine en revanche pourrait apporter sous peu cet avantage aux aviateurs français, le roulement de nuit achèverait de donner la supériorité aérienne à l'armée de l'air.


Et c'est alors que l'armée achevait ses préparatif de guerre que le ministre Daladier arriva avec une dépêche importante pour le président Lebrun !

Daladier - "Monsieur le président, j'ai une excellente nouvelle pour vous ! Le chancelier Hitler annonce qu'il souhaite Dantzig et une bande de terre pour faire passer une ligne de train entre l'Allemagne et la Prusse, sous peine de quoi il déclarera la guerre à la Pologne ! Il nous signe entre autre ce traité indiquant qu'il s'agit de sa dernière revendication et qu'il n'y en aura pas d'autres et que..."
Albert Lebrun -"Daladier vous êtes viré." (2 Septembre 1939)

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A peine la déclaration de guerre était-elle parvenue aux oreilles de l'ambassadeur d'Allemagne, que les moteurs des avions français vrombissaient pour effectuer le premier raid de cette sanglante guerre. Un bombardement préliminaire massif des garnisons de Saarbucken et Saarlouis en prévision d'opérations terrestres ultérieures. Il apparaît très vite que la Luftswaffe bien que tout aussi bien équipée et entraînée que l'armée de l'air, souffre d'un nombre inférieur d'appareils de combat. Très vite, les allemands se retrouvent à combattre à 1 contre 3 dans les airs. Mais au sol, tout est bien pire. Hitler espérait que l'incompétence de Daladier et la peur de la réaction du peuple paralyseraient Albert Lebrun. Il se trompait, l'armée française est plus que décidée à en découdre. Le président est massivement soutenu par l'état major, et la propagande anti fasciste a également très bien fait son oeuvre.

Sans attendre une minute de plus, les premières lignes françaises montent à l'assaut de la ligne Siegfried.
Combattant à 1 contre 10, et sous équipées, les troupes frontalières allemandes ne peuvent résister à l'avancée irrésistible de l'armée de l'Est.

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Troupes mobiles françaises encerclant les garnisons allemandes.

Pendant ces cinq jours de combats âpres, le royaume uni ne resta pas sans rien faire. Il dépêcha en effet un corps expéditionnaire de ses meilleures forces aider la Pologne, sous le nom de code "Minorlord ops".
3 régiments de fusilier de marines anglais débarquèrent ainsi à Wilhelsmhaven. L'état major français refusa toutefois d'envoyer le moindre renfort. A ce sujet, le général Weygand, chargé de la coordination mer/terre déclara que "la vie d'un marinier français est trop importante pour être gâchée dans une telle opération suicide". Sans renfort fourni par l'état major du royaume uni, et sans soutien français, ce corps d'armée subira des pertes catastrophique en essayant de tenir le port et devra se replier honteusement.

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Le colonel Montgomery était chargé de cette opération, il avait demandé de gros moyens pour je cite "terminer cette guerre avant Noël" et également franchir le Rhin avant les troupes françaises. Second objectif réussi. Pour le premier en revanche on a connu mieux...

Dans le même temps, l'armée polonaise combat vaillamment pour repousser l'envahisseur fasciste. Les attaques françaises sur la frontière allègent la pression exercée par l'Allemagne qui doit redéployer la majorité de ses divisions pour protéger son parc industriel. Malgré une défense héroïque, la Pologne tombera aux mains de Hitler le 5 Octobre. Cette opération est un échec selon Hitler, qui prévoyait une invasion de la Pologne en 11 jours. "La supériorité de l'invincible Wehrmacht sur ces les êtres inférieurs de Pologne ne lui a pas permis de l'emporter. Notre effort de guerre a été miné de l'intérieur par des partisans judéo-bolchéviks !" La paranoïa naissante du chancelier ne fit que croître à partir de cet instant, ce dont il faut féliciter les services de renseignements français qui menaient une guerre de l'ombre particulièrement efficace depuis 1936.

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1000 kilomètres plus loin, pendant que la Pologne signait sa reddition, les troupes françaises refermaient le piège sur les garnisons rhénanes du Reich. 18 000 hommes, piégés par une armée dix fois plus nombreuse qu'elle. En désespoir de cause, les troupes de la Wehrmacht tentèrent une percée, espérant l'arrivée des renforts du front nord ou est ! Leurs attaques répétés sur le régiment blindé épuisé par la marche forcée leurs permettront de briser l'encerclement à Mönchengladbach. La percée de courte durée permet à 6 000 hommes de fuir vers Düsseldorf. Les autres divisions voient leur retraite coupée par l'arrivée de renforts d'infanterie mobiles.

Malgré d'excellentes positions défensives, les renseignements aux mains des français leurs permettent d'éradiquer toute résistance en moins de dix jours. Le parc industriel allemand de Düsseldorf, Dortmund, et Francfort est directement menacé par l'armée française... Mais les renforts ennemis sont déjà là, poussés en avant par le fanatisme hitlérien.

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L'armée française stabilise alors le front avec les renforts de l'armée de défense mobile du nord, établissant de solides défenses derrière fleuves et rivières, là où les panzer divisions ne pourront pas facilement passer.

Le 20 Octobre, alors que la situation est stable sur le front, et ponctuée seulement de ballets aériens sanglants, Hitler dans un excès de confiance déclare en simultannée la guerre au Danemark, aux Pays Bas, et à la Belgique.

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En réponse, les régiments d'infanterie de marine français embarquent et se préparent à prendre la mer. L'état major planifie les opérations Roggeveen et Rasmusen, chacune impliquant plus de 36 000 hommes de la marine française, et ayant pour but de sécuriser les principaux ports et forts des Pays Bas et du Danemark. Ces deux opérations débutent au matin du 27 Octobre. Le 30 Octobre, les RIMA débarquent à Rotterdam, et le 2 Novembre à Coppenhague, juste à temps pour repousser l'attaque des Waffen SS du général Jahn.

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En ce début de Novembre, la guerre a commencé depuis exactement 2 mois, et déjà la France a connu des combats d'une violence incroyable. Pourtant maintenant que les panzer divison, et la majorité des effectifs de la Luftswaffe sont mobilisés sur le front rhénan, les affrontements à venir promettent encore plus de sang et de larmes.
 
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Toujours aussi bien!
L'Allemagne avait signé le pacte germano-soviétique? Il serait peut-être intéressant de financer des partisans en Pologne pour tenter de relâcher un peu la pression sur les troupes françaises. (Bon, après, je ne sais pas trop comment fonctionne HoI3, donc bon... :p)
 
Un ministre exceptionnel, ce Daladier.
 
Un ministre exceptionnel, ce Daladier.

N'est-ce pas ?

3ème chapitre : Novembre 1939 jusqu'à La Pérouse :
La propagande d'état avait beau toucher le cœur même le plus insensible, la nation ne souhaitait définitivement pas cette nouvelle guerre. La France, déjà inférieure en nombre de près de 30 000 000 d'habitants par rapport à l'Allemagne, avait connu des pertes terribles lors de la Grande guerre. Les stigmates en étaient encore bien visibles même 20 ans plus tard. Les villes entières rasées par les barrages d'artilleries, les morts par centaines de milliers, les attaques avec des armes inimaginables... La France, avec plus de d'un million de morts, et quatre millions de blessés, a subit les secondes plus grosses pertes de la guerre, proportionnellement à sa population.

Aussi, lorsque les bureaux de recrutement s'ouvrirent, ceux-ci furent au mieux peu remplis, au pire complètement vides. Ainsi, face à ce grand manque de volontaires, et une population dont la jeunesse avait périe massivement 20 ans plus tôt, l'armée manque trop vite de réserves dans cette guerre qui venait à peine de débuter.

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Sans la main d’œuvre requise pour mener à bien cette guerre, l'armée française allait devoir jongler entre des opérations efficaces, pour éviter un maximum de pertes humaines, sous peine de quoi les principaux régiments seraient bientôt à court de troupes pour combattre la Wehrmacht. C'est dans cette perspective que l'état major décida d'étendre la ligne de front plus au sud jusqu'à Stuttgart puis installer des lignes de défenses derrière la rivière Neckar et du Danube. Ainsi l'armée de l'Est pourrait rediriger une partie ses troupes plus au nord, entre autre pour alléger la pression sur les Pays-Bas et la Belgique.

Un corps complet d'unités rapide est délégué à cette mission. L'avancée française est rapide, mais se heurte vite à des contre attaques allemandes sur les flancs d'officiers particulièrement compétents, tels que le général Guderian ou le général Von Manstein.

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La contre attaque est rapide, mais manque de tourner au désastre lorsqu'une division de Panzer III et de canons antichar auto tracté Stugs prennent la région de Neu Ulm, coupant les troupes françaises présentes en Landsberg am Lech du reste de l'armée. Disposant d'un ravitaillement limité, les troupes avanceront rapidement et finiront par rejoindre Biberach, complétant ainsi l'encerclement de 9 000 fantassins allemands. Une nouvelle petite victoire, petite mais suffisante pour permettre aux français de s'installer durablement derrière le Danube, à moins de 150 kilomètres de Munich.

S'ensuivront deux longs mois d'attaques et de contre attaques allemandes cherchant à repousser les lignes françaises, en vain. Pendant ce temps, plus au nord, l'état major lance plusieurs séries d'attaques dont le sens échappe aux allemands. Plusieurs divisions de blindés se lancèrent à l'assaut des villes de Henef et Westerwald, passant à travers le Rhin. Au prix de nombreuses vies des deux côtés, et de la perte d'un nombre incalculable de pilotes dans la bataille aérienne qui y était lié, les contingents blindés du colonel De Gaulle et du colonel Juin parvinrent à établir deux solides têtes de ponts. La réussite de l'opération tenait sans doute au fait que les généraux allemands ne voyaient aucun intérêt stratégique à ces deux régions. Telle fût leur erreur, car, engagée dans une guerre sur un front de plus de 800 km, les troupes du Reich éparpillées ne tenaient la ligne que par l'avantage décisif du terrain. Un avantage que venait de leur voler les soldats français en établissant une position solide de l'autre côté de la première ligne de défense allemande : le Rhin.

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Cette action est la dernière attaque menée par la France en 1939. Devant le manque de renforts, et des troupes épuisées par d'âpres combats, les généraux décidèrent d'épargner à leurs hommes un hiver de combats. Tout cela n'était pas de la bonté d'âme, mais les allemands avaient des positions solides, une réorganisation des troupes s'imposait pour attaquer sous un nouvel angle... Durant les trois mois que durèrent l'hiver, les deux armées restèrent à se regarder en chien de faïence, à l'exception de quelques combats dans la région de Schwäbisch Gmünd. Les allemands tentèrent plusieurs fois de reprendre la zone qui était une des rares bandes de terres plates entre le Danube et le Rhin.

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Sur le reste du front européen, l'hiver fût clément pour les soldats. Les deux seules batailles d'importantes eurent lieu à Slagelse, et Afsluitdijk là où les fusiliers de marine français s'étaient déployés. Les efforts de ces hommes permirent grandement aux Pays Bas et au Danemark de résister aux légions de panzer d'Hitler.

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Il serait cependant faux de croire qu'à part se défendre l'armée française restait inactive pendant l'hiver. Tout d'abord, après l'offensive qui avait dispersé les troupes au gré des attaques et contre attaques, l'état major regroupa les unités mobiles en Henef et en Westerwald. Les unités aériennes connurent un nouveau roulement, les unités épuisées du front allemand rentèrent sur Paris tandis que la flotte de défense française partait pour le front allemand. Avec cette aviation fraîche, les bombardiers allemands ne brillèrent pas du tout sur cette période.

Mais le plus important de tout, l'état major monta le plan d'une opération audacieuse, combinant marine, armée de l'air et armée de terre. Ils la baptisèrent opération La Pérouse. Cette opération avait trois objectifs. En premier, ouvrir un nouveau front au nord à Wilhelshaven et Emden, là où les anglais avaient échoués deux mois plus tôt. En second lieu, une grande partie du parc industriel et démographique allemand en capturant Düsseldorf, Francfort sur le main et dortmund. Enfin, si l'opération était un succès, les divisions blindées du sud devaient rejoindre les troupes de fusiliers de marine du nord, bloquant les troupes envoyée aux Pays Bas au niveau du fleuve Ems. La perte de ces hommes serait un coup dur pour le Reich, et la perte de deux villes majeurs du pays n'arrangerait en rien les choses.

Plans de l'opération La Pérouse, partie nord :

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Plan de l'opération La Pérouse partie sud :

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En vue de l'opération, 4 divisions de chasseurs alpins stationnés à la frontière franco-italienne furent également démantelées. Leurs troupes et leur matériel fût réparti entre les divisions actuelles pour combler les pertes. Cette méthode tira de nombreuses protestation au QG de Bordeau qui organisait la défense du sud de la France. Malheureusement, aussi peu élégante que fût la méthode, la France n'était pas en mesure de s'offrir le luxe de mobiliser plus de 150 000 hommes pour défendre les Alpes alors que l'offensive en Allemagne ralentissait.

Dans le même temps, 4 divisions d'infanterie de marine stationnée en Indochine furent redéployées à Brest en préparation du débarquement nord allemand. La situation française n'était pas drôle, les troupes manquaient de renfort, les réserves de fuel diminuaient inexorablement et ne permettraient pas une guerre d'attrition. Il fallait gagner cette guerre, et vite. Aussi, l'opération La Pérouse reçut un soutien massif du gouvernement qui alloua des fonds supplémentaire aux divers corps d'armée. Nombre de navires seraient également réquisitionnés pour l'occasion. Malheureusement, les alliés refusèrent de remobiliser leurs troupes aux positions gardées par les troupes françaises. Ainsi, l'opération La Pérouse se ferait aux dépends de Rasmusen et Roggeveen, la moitié des marins de ces opérations devant servir à l'invasion du port de Wilhelmshaven.

Lorsque l'hiver prit fin au 21 mars, les marins français embarquèrent, sachant que nombre d'entre eux ne reverraient pas les côtes du pays. Les navires de débarquement se positionnèrent au large des côtes allemandes, accompagnées par l'ensemble de l'armada française. Le 24 Mars, 75 000 hommes, et 1500 canons débarquent en Allemagne du nord, soutenu par les bombardements intensifs de 80 chasseurs bombardiers et 8 croiseurs.

Le destin des principales villes allemandes, et de la vie des milliers de soldats allié se jouera dans le mois à suivre l'opération...












Et voilà c'est fini pour ce soir. Comme vous pouvez le voir, niveau effectifs c'est pas la joie, avant de lancer l'offensive j'ai un stocke de 30 de main d’œuvre après avoir dissolu 4 divisions de montagnards, et plusieurs QG en Afrique (vu que les combats en Afrique sont pas bien violents, j'ai décidé de faire une chaine de commandement plus simple). A ce sujet un petit conseil, chaque QG rapporte 2 de main d’œuvre à peu prêt. Alors autant que faire se peut, il faut se passer de ces QG.

Sinon les combats se déroulent bien, mais je souffre grandement de tous les avantages que possède l'Allemagne.... Des troupes super expérimentés sans rien avoir à faire (j'ai vu des panzer division avec 40% d'expérience se balader alors qu'elles ont jamais combattu à part en Pologne, donc qu'elles ont pas combattu :D), des officiers de niveau 5 de partout là encore sans rien avoir à faire(Von Manstein, Guderian et Rommel entre autre mais il y a aussi Dietl si je ne m'abuse, Dietrich, bref y en a un paquet).

Non franchement c'est assez désespérant de voir dans les affrontements les allemands avec un bonus de +300% d'attaques quand les troupes françaises sont à +190% avec ses meilleurs généraux comme Leclerc, Juin et De Gaulle. Mais visiblement je possède plus de troupes que l'Allemagne ! Donc pour l'heure mes deux têtes de ponts derrière le Rhin avec une grande concentration de troupes devraient me permettre d'atomiser les divisions allemandes plus petites.

Donc pour l'heure c'est encore un peu tendu mais ça me semble bien parti.
 
Une opération ambitieuse! Avec HoI4, l'expérience va changer pour être plus équitable.
 
Bon, bah jusqu'à présent j'avais un jour d'avance sur mon AAR. Il se trouve pourtant que hier soir... Bah j'ai réussi à quitter sans sauvegarder. J'ai pris des screen shot jusqu'à avril 1940 à peu prêt, mais là je dois revenir à mars sans pouvoir exploiter mes screens. Du coup la sortie est reportée à dimanche, soir voir lundi soir. Désolé :(
 
Bon, bah jusqu'à présent j'avais un jour d'avance sur mon AAR. Il se trouve pourtant que hier soir... Bah j'ai réussi à quitter sans sauvegarder. J'ai pris des screen shot jusqu'à avril 1940 à peu prêt, mais là je dois revenir à mars sans pouvoir exploiter mes screens. Du coup la sortie est reportée à dimanche, soir voir lundi soir. Désolé :(

C'est plus embêtant pour toi que pour nous. Tu pourrais finir frustré si ta 2e tentative se passe moins bien que la 1ere (même si avec "seulement" un mois de différence, ce ne sera pas trop impactant).

Bon courage, et c'est sympa à suivre en tout cas.
 
Oui, bon courage, et prend ton temps!