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unmerged(90)

Marshall Ombre
Feb 13, 2000
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Z'ont fait quelque chose ?
J'ai de vagues souvenirs de bâtiments n'ayant rien à envier à ceux d'autres pays (sauf le fantastique et inutile Surcouf) dont le seul fait marquant est de se faire détruire par erreur par les Alliés ou se faire saborder à Toulon...

Y en a-t-il eu d'actifs en Méditerrannée, Atlantique ou Pacifique, avec des résultats notables ou rien du tout ?
 
F'rait mieux de chercher avant de poser des questions :

mais c'est quand même pas hyper brillant :D



SOUS-MARINS CLASSE DES 630 Tonnes
22 Sous-Marins

NOM ARSENAL MISE SUR CALE LANCEMENT MISE EN SERVICE
Classe ARGONAUTE (630 t)
Argonaute
Schneider 1927 23/05/1929 1931
Aréthuse
Schneider 1927 8/08/1929 1932
Atalante
Schneider 1928 5/08/1930 1932
La Vestale
Schneider 1930 25/05/1932 1934
La Sultane
Schneider 1930 5/08/1932 1934
Classe DIANE (571 t)
Diane
Augustin-Normand 1927 13/05/1930 1932
Antiope
Worms 1928 19/8/1930 1932
Méduse
Augustin-Normand 1927 26/08/1930 1932
Amphitrite
Augustin-Normand 1928 20/12/1930 1932
Orphée
Augustin-Normand 1928 10/11/1931 1932
Amazone
Worms 1928 28/12/1931 1933
La Sybille
Worms 1930 28/01/1932 1934
Oréade
Worms 1928 23/05/1932 1933
La Psyché
Augustin-Normand 1930 4/08/1932 1933
Classe ORION (558 t)
Orion
AC de la Loire, Nantes 1928 21/04/1931 1931
Ondine
Dubigeon 1928 4/05/1931 1932
Classe MINERVE (662 t)
Minerve
Cherbourg 1931 32/10/1934 1935
Iris
Dubigeon 1932 23/09/1934 1935
Vénus
Worms 1932 6/04/1935 1936
Junon
Augustin-Normand 1932 15/09/1935 1936
Pallas
Augustin-Normand 1936 25/08/1938 1939
Cérès
Worms 1936 9/12/1938 1939



LONGUEUR 68,10 m (Minerve)
66,75 m (Orion)
64,40 m (Diane)
63,40 m (Argonaute)
LARGEUR 5,62 m (Minerve)
6,20 m (Orion)
6,20 m (Diane)
6,40 m (Argonaute)
TIRANT D'EAU 4-4,40 m
DEPLACEMENT EN SURFACE 662 t (Minerve)
558 t (Orion)
571 t (Diane)
630 t (Argonaute)
DEPLACEMENT EN PLONGEE 856 t (Minerve)
787 t (Orion)
809 t (Diane)
798 t (Argonaute)
MOTEURS Moteurs Diesel Schneider-Carel(Argonaute), Normand-Vickers(Diane-Minerve), Sulzer(Orion), en Surface
Moteurs Electriques (Plongée)
actionnant 2 hélices

PUISSANCE 1 300 ch (moteur diesel Argonaute)
1 400 ch (moteur diesel Orion, Diane)
1 800 ch (moteur diesel Minerve)
1 000 ch (moteur électrique)
1 200 ch (moteur électrique Minerve)
VITESSE 14 n (surface)
9 n (plongée)
AUTONOMIE 4000 mn (7 400 km) à 10 n en surface
2500 mn (4 600 km) à 13 n en surface
85 mn (160 km) à 5 n en plongée
CARBURANT 65 t
ARMEMENT PRINCIPALE 1 pièce de 75 mm (modèle 1928)
ARMEMENT SECONDAIRE 1 Mitrailleuse de 12,7 mm aa
2 Mitrailleuses de 13,2 mm aa (Minerve)

TUBES LANCE-TORPILLES 6 tubes de 550 mm
2 tubes de 400 mm

6 tubes de 550 mm (Minerve)
3 tubes de 400 mm (Minerve)
EQUIPAGE 4 Officiers 38 Hommes




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L'Argonaute
Mise en service en 1931.
Réarmé à Toulon en juin 1941, l'Argonaute est basé à Oran. Il est coulé par le HMS Achates lors de l'opération Torch (débarquement allié en Afrique du Nord) le 8 novembre 1942.


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L'Aréthuse
Mise en service en 1932.
Basée en A.O.F. d'août 1940 à avril 1942, l'Aréthuse est désarmée à Toulon jusqu'en août 1942. Elle rejoint par la suite l'A.O.F. puis passe dans le camp allié. Elle effectue des missions sur les côtes de Provence puis participe à la libération de la Corse en septembre 1943.
Elle regagne Dakar en 1944 puis La Pallice en 1945. Elle sera condamnée le 25 mars 1946.


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La Diane
Mise en service en 1932.
Basée à Madère, la Diane se trouve à Mers-El-Kébir lors de l'affrontement franco-britannique du 3 juillet 1940. Désarmée de octobre 1940 à mai 1941, elle rejoint Toulon puis Oran en septembre 1941.
Elle est sabordée le 9 novembre 1942 lors de l'opération Torch (débarquement allié en Afrique du Nord) dans le port d'Oran.


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La Méduse
Mise en service en 1932.
La Méduse opère d'abord dans l'Atlantique avant de rejoindre le Maroc. Elle s'échoue le 10 novembre 1942 au Cap Blanc lors du débarquement allié en Afrique du Nord après un engagement contre la T.F.34 U.S.


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L'Amphitrite
Mise en service en 1932.
L'Amphitrite opère d'abord dans l'Atlantique avant de rejoindre l'A.O.F. de octobre 1940 à janvier 1941. Désarmée à Toulon de février 1941 à janvier 1942, elle regagne l'A.O.F. puis le Maroc. Elle est coulée par des avions de la T.F.34 le 8 novembre 1942 dans le port de Casablanca (pendant l'opération Torch : débarquement allié en Afrique du Nord). Renflouée, elle est mise en réserve à Casablanca et condamnée en mai 1946.


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L'Antiope
Mise en service en 1932.
Opérant en Mer du Nord, l'Antiope rejoint le Maroc lors de l'armistice puis est désarmée à Toulon de mars à décembre 1941. Elle regagne le Maroc et l'A.O.F. en février 1942. Elle est confrontée au débarquement allié en Afrique du Nord le 8 novembre 1942 puis rejoint les alliés et effectue des missions en Méditerranée avant de partir aux U.S.A. à Key West pour servir l'Ecole d'écoute.
Elle est condamnée le 26 avril 1946.


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L'Amazone
Mise en service en 1933.
Engagée en Mer du Nord, l'Amazone est désarmée à Toulon de mars à décembre 1941. Elle rejoint l'A.O.F. en février 1942, et se trouve confrontée au débarquement allié en Afrique du Nord le 8 novembre 1942. Elle gagne finalement les U.S.A. pour servir l'Ecole d'écoute de Key West.
Elle est condamnée le 26 avril 1946.


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L'Atalante
Mise en service en 1932.
Sur le front Méditerranée avant la guerre, l'Atalante rejoint Toulon pour être désarmée jusqu'en décembre 1940. Elle rejoint ensuite le Maroc puis l'A.O.F. Elle finira sa carrière en servant l'Ecole d'écoute d'abord au Maroc puis à Freetown. Elle est condamnée le 25 mars 1946.


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L'Orphée
Mis en service en 1932.
Déployée en Mer du Nord, l'Orphée rejoint le Maroc pour y être désarmé d'avril 1941 à mars 1942.
Confronté à l'opération Torch (débarquement en Afrique du Nord), l'Orphée rejoint le camp des alliés et effectue des missions spéciales en Méditerranée jusqu'en avril 1944.
Durant l'une de ces missions, il coule le Patrouilleur armé Faucon le 7 décembre 1943.
A partir de mi-44, l'Orphée servira l'Ecole d'écoute à Casablanca. Il est condamné le le 15 avril 1944.


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L'Oréade
Mise en service en 1933.
L'Oréade opère d'abord dans l'Atlantique puis rejoint Oran, le Maroc puis l'A.O.F.
Confrontée aux débarquement allié en Afrique du Nord, l'Oréade est coulée par des avions américains de la T.F.34 le 8 novembre 1942 à Casablanca. Renflouée, elle est condamnée en 1944.


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L'Orion
Mis en service en 1931.
Engagé en Méditerranée puis dans l'Atlantique, il est désarmé à Cherbourg en mars 1940. Remorqué à Portsmouth le 18 juin 1940, il est saisi par la Royal Navy le 3 juillet 1940. Non réarmé, il va fournir des pièces de rechange pour la Minerve et la Junon.
Il est définitivement détruit en avril 1943.


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L'Ondine
Mise en service en 1932.
Engagée en Méditerranée puis dans l'Atlantique, elle est désarmée à Cherbourg en mars 1940. Remorquée à Portsmouth le 18 juin 1940, elle est saisie par la Royal Navy le 3 juillet 1940. Non réarmée, elle va fournir des pièces de rechange pour la Minerve et la Junon.
Elle est définitivement détruite en avril 1943.


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La Psyché
Mise en service en 1933.
Engagée dans l'Atlantique, La Psyché rejoint Toulon en octobre 1940 puis le Maroc en décembre 1941. Elle est coulée le 8 novembre 1942 à Casablanca, par des avions américains de la T.F. 34 lors du débarquement allié en Afrique du Nord.
Renflouée, elle est condamnée en 1944.


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La Sibylle
Mise en service en 1934.
Engagée en Mer du Nord, la Sibylle rejoint le Maroc puis l'A.O.F. Désarmée à Toulon de mars 1941 à janvier 1942, elle regagne le Maroc. Elle est confrontée le 8 novembre 1942 au débarquement allié en Afrique du Nord. Elle appareille ce jour crucial de Casablanca puis est portée disparue en Mer. Selon certaines sources elle aurait été torpillé et coulé par erreur par l'U 173 au large du Maroc le 11 novembre 1942.


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La Vestale
Mise en service en 1934.
Basée à Bizerte, elle rejoint Toulon puis l'A.O.F. et le Maroc (juillet 1941). De nouveau à Toulon en avril 1942, elle regagne le Maroc en avril 1942 puis l'A.O.F. en novembre 1942. Désarmée à Oran de juin 1943 à septembre 1944, elle sert finalement d'Ecole écoute à Dakar-Freetown. Elle est condamnée le 14 août 1946.


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La Sultane
Mise en service en 1934.
Basée à Bizerte, elle rejoint Toulon puis est désarmée d'octobre 1940 à décembre 1940. Elle rejoint l'A.O.F. et le Maroc avant d'être désarmée une deuxième fois à Toulon d'avril à août 1942. De nouveau en A.O.F., elle rejoint le camp allié après le débarquement en Afrique du Nord (novembre 1942) et effectue des missions en Méditerranée. Le 9 mai 1944 elle coule un patrouilleur ennemi. Elle sera condamnée le 27 décembre 1946.


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La Minerve
1 citation à l'Ordre de l'Armée

2 citations à l'Ordre du Corps d'Armée


Mise en service en 1935.
Basée à Oran, la Minerve rejoint Cherbourg puis Plymouth. Elle est saisie par la Royale Navy le 3 juillet 1940. Puis est réarmée F.N.F.L. Elle participe à des missions en Norvège puis dans l'Atlantique de mars 1941 à octobre 1943. Elle coule au court de ces missions un pétrolier ennemi le 19 avril 1941. Elle est attaquée sur une méprise par des avions anglais le 10 octobre 1943. Elle sera condamnée le 27 février 1946.


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La Junon
2 citations à l'Ordre de l'Armée

1 citation à l'Ordre du Corps d'Armée


Mise en service en 1936.
Opérant dans l'Atlantique, la Junon regagne Cherbourg puis l'Angleterre lors de la débacle de juin 1940. Elle est saisie par la Royale Navy le 3 juillet 1940. Puis est réarmée F.N.F.L. Elle est engagée en Norvège, puis dans le Golfe de Gascogne d'octobre 1941 à mai 1944. Elle sera par la suite basée en Méditerranée jusqu'en août 1944. Désarmée, elle est condamnée le 6 décembre 1954.
Au cours de ses missions spéciales en Norvège, elle torpille un vapeur ennemi le 18/10/1942 et un autre le 19/10/1942 (cargo Nordland).

Historique et une photo de la Junon : http://www.ifrance.com/sousmarinJUNON/FNFL.htm




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La Vénus
Mise en service en 1936.
Elle opère d'abord aux Antilles (février 1940) puis regagne Toulon en juin 1940. Désarmée, elle rejoint L'A.O.F. en février 1941. Elle regagne Toulon en octobre 1942. Elle est sabordée le 27 novembre 1942.


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L'Iris
Mis en service en 1935.
L'Iris est basé aux antilles à partir de février 1940. Finalement Il gagne Toulon en juin 1940. Désarmé, il rejoint le Maroc puis l'A.O.F. en février 1941. De retour à Toulon en octobre 1942, l'équipage appareille le 27 novembre 1942 lors du sabordage de la flotte et ils parviennent à franchir les passes pour faire route vers Barcelone. Interné à Carthagène pendant le reste de la guerre, l'Iris est finalement libéré le 29 novembre 1945. Il sera condamné le 1er février 1950.


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La Cérès
Mise en service en 1939.
La Cérès gagne les Antilles en février 1940. Rappellée à Toulon en juin 1940 puis désarmée, elle rejoint le Maroc et l'A.O.F. de décembre 1941 à octobre 1942. Désarmée à nouveau à Oran, elle est sabordée le 9 novembre 1942 lors de l'opération Torch (Débarquement allié en Afrique du Nord). Renflouée, mise en réserve à Oran, elle sera condamnée le 18 février 1946.


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La Pallas
Mise en service en 1939.
La Pallas gagne les Antilles en février 1940. Rappellée à Toulon en juin 1940 puis désarmée, elle rejoint le Maroc et l'A.O.F. de décembre 1941 à octobre 1942. Elle est sabordée à Oran, le 9 novembre 1942 lors de l'opération Torch (Débarquement allié en Afrique du Nord). Renflouée, elle est condamnée en 1944.
 
Bizarre que tu n'es rien sur le Rubis...
 
D'aprés un bouquin sur la marine française que je viens de lire, les sous-marins français de l'époque était trop léger pour faire de longue croisière (+ problème de tenue de mer) et en plus étaient trés bruyants sous l'eau avec des detecteurs nuls. Quand on pense que la France est à l'origine du sous marin c'est nul. Heureusement qu'avec les joujoux atomiques de l'ile longue on a un peu repris de couleur depuis.
 
Originally posted by JP
Bizarre que tu n'es rien sur le Rubis...

C'est une page sur un type précis de SM dont ne fait pas partie le Rubis.
Le Rubis était cité ailleurs mais ta source est bien.

Vinso, tu confirmes que les SM français étaient en fait pourris ?
 
Je pense qu'il ne faut pas oublier non plus le Casabianca
 
Originally posted by yndenwal

Vinso, tu confirmes que les SM français étaient en fait pourris ?

Je te donne les références du bouquin:
histoire ignoree marine francaise, Etienne Taillemite, Perrin (disponible depuis mardi à la bibliothéque de Rueil Malmaison ;) )
L'auteur disait aussi que par contre les sous marins mouilleur de mines français étaient considérés comme excellent par les anglais, c'est dire...
 
la plupart se sont sabordés ou ont été coulé pendant torch... Il y en aussi deux qui ont servit de piece de rechange :p
 
Originally posted by yndenwal
(sauf le fantastique et inutile Surcouf)
ho l'aut hé comment qui me parle :D
bon sinon la france à hérité pour les sousmarins d'une doctrine d'avant guerre : "les sousmarins c'est inutiles à grande echelle faut pas investir dedant on va plutot faire de gros cuirassés" :). faites pas le parallelle avec les chars pour l'armé de terre car la c'est justifié. les allemands en 14-18 ont misé sur les sous marins avec un certain succes en 17 mais en 18 des contres mesures avaient été trouvé rendant les sous marin presque inefficaces. les sous marins en 39 sont encore pas super au point les recherches allemandes vont changer temporairement ça jusqu'a ce que à nouveau les perfectionnements les rendent presque innopérants. la véritable percé sera avec le shnorkel (sais pas comment ça s'ecrit) mais elle arrive trop tard pour les allemands (heuresement), la la dimension sous marine devient tres forte et en fait enfin un batiment durablement dangereux.
 
c'est quoi deja ca?

j'ai oublié :confused:
 
a je vois :)

merci kort

je pensais pas a ca au départ :confused:
ce sont les allemands qui ont inventé ca? Quand?
 
d'accord, en gros les allemands en on bénéficié en premier
 
Originally posted by P. Alavares Cab
d'accord, en gros les allemands en on bénéficié en premier

A ma connaissance ce sont les seuls a l'avoir utilise pendant la seconde guerre mondiale, mais comme le dit Surcouf il est arrive trop tard pour etre employe de maniere determinante.
 
Originally posted by P. Alavares Cab
c'est quoi deja ca?

j'ai oublié :confused:
en gros ça permet surtout de faire des trajets de longue dure en immersion. ça permet de faire des sous marins de vrai batiments de plongés pas des navires qui ne plongent que pour attaquer. tres utile pour pas se faire choper par les avions pres des cotes et evidement pas de problemes de radars de surface :). ça à rendu tout à la fin de la guerre (avec d'autres trucs quand même yavais pas que ça) terribles. les dernieres versions des sous marins allemands étaient inarétables par les alliers. Avant la plongé de longue duré le sous marin n'est qu'un hybride qui est facilement vulnerable.
 
En plus, quand tu dis en plongée que pour l'attaque, c'est même à relativiser puisque la tactique des meutes était plutôt basée sur les actions nocturnes où le submersible pouvait faire surface. C'est plus l'approche qui se faisait en plongée. :)

Sinon, c'est plus un problème de manque récurrent de navires d'escorte, et surtout de couverture aérienne sur une partie de l'Atlantique nord qui explique les succès allemands. Quand le "trou" est bouché à partir d'avril 43, y compris avec des B-17 à longue portée, c'est fini. Et alors que début 43 les U-boats avaient battu des records, tout va être foutu par terre en quelques semaines.
 
je croyais que c'était du au sous amrins nucléaires la longue portée en plongée?

Ou c'est encore une avancée permettant au SM de plonger indéfiniment tandis que l'invention de 43 ne leur donnait qu'un temps definit? :confused:
 
Le schnorchel, c'est comme la paille que le fuyard utilise quand il est juste sous l'eau de l'étang pour respirer pendant que les méchants le cherchent. Tu tiens longtemps sous l'eau mais juste sous la surface.

Avec le nucléaire, tu peux être longtemps sous l'eau et en plongée profonde, ce qui change tout...

(petit rappel : moteur diesel = combustion = besoin d'oxygène et yen a pas beaucoup dans un SM en plongée ! :D avec le schnorchel, il y en a et vogue le bateau en plongée peu profonde mais sous l'eau quand même. Lorsqu'il vaut plonger profondément, il repasse sur ses batteries électriques qui tiennent quelques heures au mieux.)