Hé non, je ne suis pas mort et je n'ai pas abandonné cet AAR. Je vous laisse donc sur une mise à jour de 6 ans qui m'a pris une éternité à poster. J'espère que vous apprécierez la situation et la catastrophe ambulante qui me sert de Basileus...
Chapitre XXXI: Les serres d’un Empire (1590-1596)
Chrysantos Phocas, l’un des plus prestigieux généraux de l’Empire, regarde en ce début du mois de février 1596, les ruines fumantes d’un petit village italien. La guerre, c’est ce qui le fait vivre depuis tant d’années, et pourtant il commence à souhaiter que celle-ci se termine vite.
La tournure des choses, depuis la victoire contre la Pologne-Hongrie, a pris une tangente inquiétante. L’Empereur Théodoros III a été dans une essoufflante guerre pendant la plus grande partie de son règne, et l’absence d’autorité administrative à Constantinple commence réellement à se faire sentir, alors même que le Basileus guerroie dans toutes les parties de son gigantesque empire depuis 1586. Parallèlement, les rivaux de demain se mettent en place, en Europe schismatique, avec cette union contre-nature ayant formée les Habsbourg-Karlsson… Mais pour l’instant, Phocas pense au danger immédiat, et ne peut s’empêcher de croire que l’appétit de son empereur et sa traîtrise face à la Pologne l’ont peut-être mené là où il est à présent.
C’est juste après cette victoire contre la Pologne que débute l’histoire de Chrysantos Phocas. Il était alors un jeune officier nommé dans une garnison d’Égypte. Impressionnée par la toute puissance de l’Empire, qu’on disait moribond deux siècle plus tôt, l’Aquilée avait octroyée un accès militaire et il semblait bien que Théodoros III puisse se contenter, aux yeux de l’histoire, d’avoir affaibli son voisin le plus proche, qui était également son allié le plus fidèle, jusque là.
L’accès militaire à travers l’Aquilée n’était en réalité nécessaire que pour rapatrier les troupes impériales de la Hongrie, libérée mais un peu trop faible au goût du Basileus. La Pologne possédait en effet encore de nombreux territoires au sud de la Hongrie. L’année 1590 vit aussi la reprise des conversions, cette fois en Afrique du Nord. Il semblait bien que la foi musulmane était au moins autant en déroute que la foi catholique, ce qui n’était pas pour déplaire à Phocas.
Mais quelqu’un, un chef d’une nation qui avait appris tous les exploits byzantins, décida le 6 avril de cette même année d’agir seul contre le Basileus. L’unique problème, c’est que le grand chef Songhai n’avait absolument aucune chance contre l’Empire le plus vaste du monde. Dans le même temps, l’Autriche des Habsbourg remportait sa dernière grande victoire. L’Aragon devait lui céder une partie de ses minuscules possessions, accentuant ainsi la présence autrichienne en Ibérie.
L’Empire avait bien quelques difficultés face aux rebelles, mais la situation n’était pas critique. Dès le 13 juin, Segu tombait après un siège de deux semaines aux mains du Basileus. En août, l’Empire eu même droit à des récoltes exceptionnelles. Tout ça était donc loin de présager de l’avenir. Pendant ce temps, la Pologne affrontait d’autres mouvements sécessionnistes et les États italiens achevaient leurs guerres stériles. Comme toujours, il semblait que la révolte de l’Égypte était la plus dangereuse. Alexandrie, même si elle était convertie, restait réticente à accepter l’autorité de Constantinople, et pouvait au besoin lever d’énormes armées pour défendre ses droits. Or, perdre l’Égypte signifiait perdre l’unique route menant à l’Afrique du Nord par voie de terre. C’est sur cette crainte que s’embarqua Phocas vers Constantinople, voyant l’agitation grandissante d’Alexandrie. Il allait demander rien de moins que l’armée impériale. Mais quand il arriva dans la capitale, Phocas eu aussi droit à la naissance d’un monstre.
C’est le 11 octobre 1590 qu’eu lieu la pire infamie de l’histoire. Karl Ier, un lointain parent de Richard III d’Angleterre, décédait, laissant l’ensemble de ses possessions à un autre Karl Ier, le roi protestant du Danemark. L’Autriche catholique devenait donc le jouet des ambitions élevées d’une des plus grandes puissances protestantes. Le seul pays à s’opposer directement à une telle union contre-nature fut la Misnie, qui était de toute façon protestante. Les autres rois n’en croyaient tout simplement pas leurs yeux. Quelques décennies plus tôt, l’Angleterre et l’Autriche étaient unies et luttaient contre le protestantisme. Maintenant, c’était la fin du dernier grand pays catholique continental, alors même qu’il se battait encore contre l’Angleterre de Richard III.
Le 25 octobre, dans l’indifférence générale, vue la crise qui secouait le reste de l’Europe chrétienne, Zygimantas IV montait sur le trône lithuanien. Dans l’Empire Byzantin, l’année se terminait par la révolte du Caire, qui accentuait la pression sur l’Égypte et rendait la mission de Phocas d’autant plus urgente. Mais la diplomatie n’avait pas encore perdue tous ses droits. Un mariage royal fut conclu entre la Hongrie et l’Empire de Théodoros III et le roi de France François II, ayant, bien d’autres choses à faire que lutter contre Byzance, leva l’embargo. Afin de marquer encore plus la déchéance de l’institution du Saint Empire Romain Germanique, auquel ont pouvait maintenant enlever le terme « Romain », c’est le russe protestant Iaroslav qui fut élu au poste de Saint Empereur Germanique.
La stupide guerre contre Shongai ayant pris fin avant la fin de l’année sans changement territorial, Théodoros III avait un empire en paix avec ses voisins au début de l’année suivante. Ça ne durerait pas. Mais il avait besoin de cette paix pour vaincre les nombreux rebelles qui secouaient de l’intérieur son empire. Ainsi, pendant que la garnison d’Alexandrie essuyait une défaite contre les « Mamelouks », le roi de Naples avait l’humiliation de se faire vaincre par l’armée de fanatiques orthodoxes assiégeants les Abruzzes.
L’armée impériale, commandée par Chrysanthos Phocas, débarqua dans le Delta du Nil en mars 1591, bien décidée à mater l’Égypte. Pendant ce temps, l’armée qui quittait enfin la Pologne se heurtait à des rebelles Serbes. Le Basileus lui-même vainquit seulement les rebelles de Corfou.
Et le 16 avril 1591, la Misnie acceptait finalement la formation de l’Empire le plus monstrueux jamais imaginé. Marié à la dernière Habsbourg d’Autriche, le roi Karl Ier de Danemark devenait Archiduc d’Autriche et décidait de nommer sa famille les Habsbourg-Karlsson, pour respecter une vieille tradition viking. L’Autriche perdait donc définitivement son rôle de protecteur du Saint-Empire. Dans cette atmosphère oppressante pour les catholiques François II et Richard III, Innocent VII devenait le second pape de Brême.
Pendant qu’en mai 1591, on pensait que la rébellion égyptienne commençait à être matée, le Basileus eu droit à une autre bonne nouvelle. Les Abruzzes se convertissaient à l’orthodoxie pendant que le roi de Naples ne pouvait que pleurer sur son sort, son armée étant trop faible pour vaincre les fanatiques partis d’Italie du sud et proclamant vouloir unifier l’Italie sous l’autorité de Théodoros III. Mais en juin, tandis que ces rebelles arrivaient en Urbino, Messine se révoltait de l’Empire. Et Kartli, ancienne capitale géorgienne, se convertissait à l’orthodoxie. Au moment où, en août, les rebelles d’Alexandrie étaient écrasés à Assyut, le Caire tombait entre les mains d’autres rebelles. Las, Phocas avait bien vaincu les alexandrins, mais se retrouvait face à une révolte à l’intérieur des terres égyptiennes.
En août, il vainquait ceux d’Assyut. L’élaboration d’un nouveau royaume mamelouk au Caire était sa pire crainte. Mais le premier septembre, la capitale elle-même, lasse de ces années de guerre incessantes que venait de vivre l’Empire, se révoltait pour faire entendre raison à son Basileus. Ils furent servit, puisque c’est Théodoros III qui marcha vers Constantinople, bien décidé à ne pas laisser son trône lui échapper.
Dans le même temps, l’Empire Byzantin gagnait sa toute première province du Nouveau Monde, Itamaraca. L’Angleterre faisait face à ce moment à une révolte outre-mer qui convertissait toutes ses colonies à l’hérésie protestante plutôt qu’à la foi papiste.
Le 16 septembre, quelques jours après l’échec de Phocas face aux rebelles égyptiens du Caire, la Perse de Shâh Rukh Ier croyait avoir enfin sa chance et déclarait la guerre à son éternel rival. Ce serait un combat entre d’une part l’Empire Byzantin, la Hongrie, le Khorasan, l’Irak, la Bosnie, la Valachie et Sienne, d’autre part la Perse, le Kazakhstan et l’Ak Koyunlu. L’armée impériale était bel et bien saignée à blanc. Il manquait plus de 60 000 hommes pour qu’elle soit à son plein effectif et Théodoros III ne disposait de quasiment aucune réserve de soldats, mais il devait faire face.
Par miracle, le 22 octobre 1591, Chrysanthos Phocas vainquait les rebelles du Caire, au pied du mont Sinaï, ce qu’il interpréta comme un signe divin, puis se retournait vers le Caire. Stephanos Kantakuzenos, quant-à lui, arrivait à vaincre les irakiens rebelles et Bartholomaios Syropoulos, le héro de la campagne d’Italie, vainquait les siciliens.
La garnison d’Arabie, sous le contrôle de Petros Basileous, se dirigeait vers Al Hasa, assiégée par la Perse grâce à un accès militaire de cette dernière à travers l’Oman. Stephanos Kantakuzenos, un collègue très estimé de Phocas, détruisait en une seule bataille une armée entière de Murad IV d’Ak Koyunlu. Le 24 novembre, enfin, le Caire était repris par Phocas. Mais en décembre, la Silistrie et Assyut se révoltaient à leur tour. Théodoros III semblait vraiment conduire son empire au désastre, au grand bonheur de tous ses ennemis. Pourtant, le 17 décembre, Petros Basileous battait en perdant 12 hommes toute l’armée assiégeant Al Hasa. Les efforts de modernisation initiés par Manuel III auraient-ils donc totalement déclassés l’armée Perse?
Pendant que l’Empereur se battait contre les rebelles de Constantinople, les choses bougeaient en Asie. Phocas battait enfin les rebelles égyptiens juste avant la fin de l’an 1591 et se dirigeait vers la Perse, laissant une autre partie de son armée affronter des éthiopiens en furie.
Malgré la défaite du Basileus en Thrace au début de l’année 1592, la guerre contre la Perse et l’Ak Koyunlu tournaient à l’avantage de Théodoros III. Murad IV se faisait détruire les restes de son armée le 24 février, à Qarabagh et à la fin mars, vaincu, il voyait passer à travers son territoire l’armée impériale, cette fois décidée à remporter la victoire contre la Perse. Petros l’Arabe fut le premier à pénétrer en Perse, pendant que le Basileus essuyait une seconde défaite face aux rebelles de Constantinople.
En mai, alors que Kartli se révoltait, Petros Basileous rencontrait la grande armée de Shâh Rukh Ier. Contre toute attente, ce fut une victoire éclatante. Le 21 mai, la paix était conclue avec le Kazaksthan et les armées impériales pénétraient la Perse par le nord.
Le 2 juillet 1592, Pskov déclarait son indépendance de Novgorod, ce qui sera très important pour la suite, même si à cette date, Phocas n’en savait encore rien. Avec Pskov la protestante, c’était toute la puissance de Novgorod, qui s’évanouissait. Moscou restait l’une des dernières forteresses orthodoxes du Nord. Mais en août, alors que 3 provinces se révoltaient en même temps, Aden, Massawa et la Thrace, aggravant ainsi le problème de Théodoros III, la victoire semblait acquise en Perse.
Le 5, le Basileus donnait le contrôle de son armée à Nikolaos Choumnos, dans l’espoir que la défaite ne lui soit pas attribuée. À ce moment, Phocas arrivait à Bagdad et Petros Basileous, désormais le Perse, pourchassait le Shâh de Perse, qui s’était réfugié à Fars. Finalement, ce fut Phocas qui eu l’honneur d’occuper le premier une province Perse, le Luristan.
En octobre, Petros Basileous arrivait une fois de plus à triompher de Shâh Rukh et le Khuzestan tombait entre les mains impériales, alors même que l’Anatolie et Constantinople n’étaient toujours pas libérées de leurs rebelles. Le 24 octobre, Shâh Rukh dû pousser un soupir, en apprenant la mort de celui qui l’avait déjà vaincu trois fois. En décembre, pendant que Gilan tombait, trois autres provinces impériales se révoltaient.
Finalement, alors que le pauvre Choumos essuyait une autre défaite à Constantinople, le Basileus acceptait enfin de faire la paix avec la Perse, sans rien gagner en retour à part un peu d’argent. En revanche, le même jour, Ak Koyunlu cédait Van, mettant ainsi fin à la partition de son pays en deux.
Le 1er janvier 1593 se produisit un événement important pour la France et le monde catholique. La mort de François II donnait le trône à son fils, François III. La première décision de ce dernier fut de convertir son royaume à la réforme, mettant ainsi fin à son titre de fille aînée de l’Église et laissant l’Angleterre comme seule puissance catholique, avec l’Autriche sous le contrôle de Karl Ier, le protestant. Pendant ce temps, du côté protestant, la Pologne ne semblait toujours pas remise de sa cuisante défaite, mais Théodoros III aspirait maintenant à la paix, ou au moins à vaincre toutes ces révoltes qui infestaient son empire.
Le 13 avril, alors que cette volonté était en passe d’être exaucée par l’intervention des armées qui étaient précédemment occupées en Perse, Henry VII montait sur le trône anglais, alors que cette même Angleterre était toujours en guerre contre Mantoue et l’Autriche. Malgré les nombreuses défaites de Choumnos, les armées persane vinrent à bout de la résistance, pendant que la Géorgie se convertissait à l’orthodoxie.
Ce fut finalement Phocas, qui vint à bout des rebelles de Thrace, le 31 juillet 1593, soit près de 2 ans après leur soulèvement. Dans le même temps, le vassal Valaque succombait à une rébellion, mais la république patricienne qui succéda au duc accepta de renouveler le serment de vassalisation. Corneliu Duca n’était pas assez fou pour déclarer la guerre à Théodoros III.
Pendant ce temps, manifestement malchanceux, le Basileus échouait à vaincre les rebelles de Tanger. Pourtant, malgré toute son incompétence, aucun général n’osa faire comme dans les siècles passés : marcher sur Constantinople pour prendre le pouvoir. La confiance envers la dynastie théodoride restait un des piliers de l’Empire.
Brièvement, en septembre, les « ottomans » anatoliens parvinrent à prendre le contrôle de l’Anatolie. Ils furent cependant vite vaincus, encore une fois par Phocas, qui reprit le contrôle du territoire en 4 jours. L’année se termina malheureusement par une seconde défaite du Basileus face à Tanger.
L’an 1594 commença donc par la soumission de la garnison de Tanger aux rebelles et la montée sur le trône de ce qu’il restait de l’Aragon de Sanç II. Mellila, non loin de Tanger, se révolta en février. Encore une fois, la faible armée impériale n’en vint pas à bout. C’est le général Syropoulos qui empêcha le désastre en débarquant aux colonnes d’Héraclès et en reprenant Tanger en juin, avant de se jeter sur Ceuta en juillet. En août, Milan devint en union personnelle avec Urbino, en Italie, et Syropoulos terminait le « ménage » au Magreb.
L’Empire Byzantin avait échappé au désastre grâce au courage de ses généraux, mais ce même courage allait être mis à rude épreuve par la suite des choses. Les avertissements se succédaient, et il manquait encore 30 000 hommes à l’armée impériale pour obtenir sa pleine capacité, même au début de 1595. Devant la situation en Lybie et en Italie du Sud, où la Tripolitaine et la Calabre s’étaient révoltées, l’armée de Rome fut dépêchée vers le sud de l’Italie via la flotte au début juin. C’était la preuve de faiblesse qu’il ne fallait pas donner…
Le 25 juin 1595, Urbino, forte de son contrôle sur Milan, déclarait la guerre à l’Empire Byzantin. L’Empire et ses faibles alliés se retrouvaient donc en guerre également contre l’Angleterre et Milan, tous deux, heureusement, encore plus épuisés que Byzance. Rapidement, le héro italien, Syropoulos, vainquait les Calabriens, mais le mal était fait. Rome était à présent assiégée. Le 28 juillet 1595, un peu plus d’un mois après Urbino, Sienne déclarait à son tour la guerre. Le 14 août, Syropoulos battait définitivement les rebelles Calabriens en Apulie, Wolof (une province malienne) était convertie à l’orthodoxie et l’Angleterre faisait la paix avec l’Autriche.
Ali III montait sur le trône irakien en septembre, pendant que Syropoulos se battait pour la Ville Éternelle, furieux du manque de reconnaissance d’Urbino. Car c’était après tout grâce à lui, si Urbino était maintenant indépendante. Défaisant rapidement l’armée de l’agresseur, il fonçait sur la capitale, Ancône, où il détruisait l’armée ennemie une nouvelle fois. Cependant, le 27 octobre, Sienne à son tour se mettait à assiéger Rome, pendant que Phocas était retenu en Grèce, en train d’abattre une rébellion en Morée et que Choumnos reprenait Tripoli.
Syropoulos étant occupé avec Urbino, c’est Phocas qui affronta la faible armée Siennoise, pour la vaincre le 16 janvier 1596, mais le 9 janvier, Songhai avait déclaré à nouveau la guerre à l’Empire. Le 1er février, le Mali suivait. Mais le 11, le Danemark de Karl Ier déclarait également la guerre contre l’Empire Byzantin, pendant que la diète autrichienne refusait d’entériner cette décision. Avec le Danemark, c’étaient donc également Grenade et la Lituanie, qui étaient en guerre contre l’Empire.
Dans les six dernières années, l’Empire Byzantin a tenu bon face à tous ses ennemis, en grande partie grâce à ses grands généraux, véritable serres de l’Aigle Impérial, mais maintenant, devant la possibilité que tous se jettent sur l’Empire affaibli par ces années de guerre, cette alliance sacrée avec les Théodorides, représentés par le faible Théodoros III tiendra-elle encore? Paradoxalement, l’union dano-autrichienne des Habsbourg-Karlsson, si elle fait peser un lourd danger pour la suite, empêche l’Autriche, désormais simple possession danoise, de se mêler des affaires intérieures de l’Empire. Également, le chaos dans lequel est plongé la Pologne permettra peut-être à l’Empire de récolter d’autres victoires que l’Histoire mettra au crédit de Théodoros III…