Il y a deux siècles, le 20 décembre 1803, Napoléon cédait la Louisiane, territoire alors beaucoup vaste que l'État actuel, au président américain Thomas Jefferson pour la modique somme de 80 millions de francs de l'époque.
Un bicentenaire boudé à la fois par Bush et Jacques Chirac, au grand regret des organisateurs.
L'actuel chef de la Maison Blanche a décliné le premier l'invitation du gouverneur Michael Foster au motif d'un emploi du temps trop chargé. Dès le mois d'octobre, sa conseillère à la Sécurité nationale Condoleezza Rice avait averti qu'il risquait de ne pouvoir participer à la cérémonie du 20 décembre, suscitant les regrets de l'ambassade de France. Au nom du président Chirac, qui a renoncé lui aussi.
La France devait être représentée par le président de l'Assemblée nationale Jean-Louis Debré, les États-Unis par la secrétaire à l'Intérieur Gale Norton et l'Espagne, impliquée dans la transaction, par son ambassadeur.
La cérémonie reconstituant la vente et la passation de pouvoir qu'elle impliquait devait se tenir dans le quartier français (Vieux carré) de la Nouvelle-Orléans, avec un passage obligé sur l'ex-Place d'armes, aujourd'hui Jackson Square, où le drapeau français avait été définitivement descendu, voilà 200 ans, pendant que la bannière américaine y était solennellement hissée.
À la Nouvelle-Orléans comme à Bâton-Rouge, la capitale de l'État, des expositions et manifestations diverses ont été organisées ces derniers mois à l'occasion du bicentenaire du «Louisiana Purchase», la vente d'un territoire qui couvrait alors un tiers de l'ensemble des États-Unis. Un ensemble occupé aujourd'hui entièrement ou partiellement par 17 États.
Un traité secret avec l'Espagne avait permis en 1800 à Napoléon, premier consul, de racheter ce territoire grand comme quatre fois la France, que Louis XV avait cédé aux Espagnols en 1763, comme il avait laissé le Canada aux Anglais.
http://www.cyberpresse.ca/monde/article/1,151,0,122003,534159.shtml
des regrets? Qu'aurait-été le monde actuel avec une Louisanne Française? Une guerre franco-Américaine de 1840 pour récupérer ces territoires?
Un bicentenaire boudé à la fois par Bush et Jacques Chirac, au grand regret des organisateurs.
L'actuel chef de la Maison Blanche a décliné le premier l'invitation du gouverneur Michael Foster au motif d'un emploi du temps trop chargé. Dès le mois d'octobre, sa conseillère à la Sécurité nationale Condoleezza Rice avait averti qu'il risquait de ne pouvoir participer à la cérémonie du 20 décembre, suscitant les regrets de l'ambassade de France. Au nom du président Chirac, qui a renoncé lui aussi.
La France devait être représentée par le président de l'Assemblée nationale Jean-Louis Debré, les États-Unis par la secrétaire à l'Intérieur Gale Norton et l'Espagne, impliquée dans la transaction, par son ambassadeur.
La cérémonie reconstituant la vente et la passation de pouvoir qu'elle impliquait devait se tenir dans le quartier français (Vieux carré) de la Nouvelle-Orléans, avec un passage obligé sur l'ex-Place d'armes, aujourd'hui Jackson Square, où le drapeau français avait été définitivement descendu, voilà 200 ans, pendant que la bannière américaine y était solennellement hissée.
À la Nouvelle-Orléans comme à Bâton-Rouge, la capitale de l'État, des expositions et manifestations diverses ont été organisées ces derniers mois à l'occasion du bicentenaire du «Louisiana Purchase», la vente d'un territoire qui couvrait alors un tiers de l'ensemble des États-Unis. Un ensemble occupé aujourd'hui entièrement ou partiellement par 17 États.
Un traité secret avec l'Espagne avait permis en 1800 à Napoléon, premier consul, de racheter ce territoire grand comme quatre fois la France, que Louis XV avait cédé aux Espagnols en 1763, comme il avait laissé le Canada aux Anglais.
http://www.cyberpresse.ca/monde/article/1,151,0,122003,534159.shtml
des regrets? Qu'aurait-été le monde actuel avec une Louisanne Française? Une guerre franco-Américaine de 1840 pour récupérer ces territoires?