Pr les euros à quoi ça sert d'avoir de l'immigration si on arrive pas à assimiler ?
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crash63 said:
de la chaire a canon? de la main d'oeuvre qui te permet d'utiliser la tienne.
mais generalement ils arrivent par 100 les immigrants donc tu peut souvent les assimiles. C'est quand ils finissent par depasser les 1000 que tu a du mal. Puis c'est toujours sympas de se dire tient mon pays a de l'immigration!
c'est vrai que de toute facons elle est plus interessante pour l'amerique du Sud ou autre.
Petite remarque j'ai fais un thread (qui n'a d'ailleurs passionné personne) dans scénarios et modifications où je propose des partis créés de toute pièce pour des pays qui n'en ont pas. Si ça t'interesse...Cypho51 said:
Danton said:Petite remarque j'ai fais un thread (qui n'a d'ailleurs passionné personne) dans scénarios et modifications où je propose des partis créés de toute pièce pour des pays qui n'en ont pas. Si ça t'interesse...
mais si c'est tres interessant mais quesqu'on pouvais bien dire dessus?!
d'ailleur tu aurrais mieux fait de mettre un lien avec tes .csv ziper, parce que la il faut copier/coller case a case nan?
Dist
Par exemple corriger les erreurs (de dates) ou donner les noms de partis en v.o. je sais pas moi.Disturbman said:mais si c'est tres interessant mais quesqu'on pouvais bien dire dessus?!
D'ailleurs je songe à appeler les ambassades pour avoir plus d'infos précises sur les vrais partis de l'époque, parce-que je n'arrive pas à touver ça sur le net.
Copier-coller directement même en ligne c'est plus rapide que télécharger un truc puis l'ouvrir. Puis l'installer, non ?Disturbman said:d'ailleur tu aurrais mieux fait de mettre un lien avec tes .csv ziper, parce que la il faut copier/coller case a case nan?
D'autant plus qu'il n'y a pas 500 fichiers à modifier.
Danton said:Copier-coller directement même en ligne c'est plus rapide que télécharger un truc puis l'ouvrir. Puis l'installer, non ?
waih pas forcement c'est discutable.
mais tu pourrait nous faire sinon un exe qui les copient directement et les places au bon endroit (ou alors tud emande a Sayagh). Comme ca il y aurrais un Danton's Mod, cool nan?
Ba tu sais je cherche pas à entrer dans le postérité victorienne ou iesqueDisturbman said:waih pas forcement c'est discutable.
mais tu pourrait nous faire sinon un exe qui les copient directement et les places au bon endroit (ou alors tud emande a Sayagh). Comme ca il y aurrais un Danton's Mod, cool nan?
, d'autant plus que, comme dis plus haut, je ne suis pas satisfait du boulot, qu'il n'est pas fini (les ukrainiens ne sont pas fais, deux partis sont à ajouter à ceux de l'Albanie d'autres pays pourraient être fais) rien n'est en V.O. et j'aimerais vraiment créer des partis d'époque. Le jour où j'en aurais terminé j'y penserais.Ce qui me plait c'est de libérer les pays consernés comme démocraties et les voir évoluer avec leurs élections
.
Un grand démocrate ce Danton.
Dommage qu'ils étaient pas transportés par les mêmes élans républicains pour la plupart à l'époque.
Dommage qu'ils étaient pas transportés par les mêmes élans républicains pour la plupart à l'époque.
Bon j'ai fait un test.
Je prends le Brésil.
J'en fais une vraie démocratie (tout autorisé, S.U.), je mets en social : Santé = bon et tous les autres en faibles (en allant direct mettre les valeurs dans la save le premier jour).
Et je laisse couler le temps pour voir l'immigration.
Résultat = rien. Strictement zéro immigration sur les 20 premières années du jeu. Je vais refaire un test en passant tout à bon mais j'ai quand même du mal à croire que ces facteurs influencent, vu qu'à part 2 mineurs allemands, personne n'a rien en politiques sociales...
Je prends le Brésil.
J'en fais une vraie démocratie (tout autorisé, S.U.), je mets en social : Santé = bon et tous les autres en faibles (en allant direct mettre les valeurs dans la save le premier jour).
Et je laisse couler le temps pour voir l'immigration.
Résultat = rien. Strictement zéro immigration sur les 20 premières années du jeu. Je vais refaire un test en passant tout à bon mais j'ai quand même du mal à croire que ces facteurs influencent, vu qu'à part 2 mineurs allemands, personne n'a rien en politiques sociales...
yndenwal said:Bon j'ai fait un test.
Je prends le Brésil.
J'en fais une vraie démocratie (tout autorisé, S.U.), je mets en social : Santé = bon et tous les autres en faibles (en allant direct mettre les valeurs dans la save le premier jour).
Et je laisse couler le temps pour voir l'immigration.
Résultat = rien. Strictement zéro immigration sur les 20 premières années du jeu. Je vais refaire un test en passant tout à bon mais j'ai quand même du mal à croire que ces facteurs influencent, vu qu'à part 2 mineurs allemands, personne n'a rien en politiques sociales...
je sais pas comment ca amrche pour le bresil, mais tu a essaye en virant l'esclavagisme?
parce que a mon avi ca freine pas mal l'immigration, sinon il y a peut-etre un timeban pour le bresil au niveau de l'immigration.
Il me semble quand même que le meilleur moyen c'est d'avoir dans son pays d'origine une usine qui peut encore utiliser de la main d'oeuvre et de prendre une province d'un autre pays ( de préférence en Italie).
Très rapidement, les artisans et les employés quittent leur province pour s'installer dans une des provinces où il y a du boulot.
Je l'ai constaté en jouant la France, la Belgique, la Suisse et les Pays-Bas.
Très rapidement, les artisans et les employés quittent leur province pour s'installer dans une des provinces où il y a du boulot.
Je l'ai constaté en jouant la France, la Belgique, la Suisse et les Pays-Bas.
Philippe August said:
pour se genre de manipulation le mieu reste de prendre des provinces a la Chine ou a la Coree puis de transforme les pops en artisans ou en employes.
puis une fois vide tant qu'a faire tu lui refile...
mais bon tout ceci reste dans la categorie exploit.
L'esclavagisme ça tue pr l'immigration.
En repartant de mon eternel exemple texan j'ai ttes les réformes sociales à fond dès 1838 (dictature militaire ou dans les faits je garde juste un droit d'interdiction). Je ramasses 1000 à 2000 hab par jour. A partir de 1845 ça s'arrête totalement.
Je me sert de mon droit d'interdiction pr favoriser le seul parti non esclavagiste. je le fais élire entre 1855 et 1860 et l'émancipation arrive. Les immigrants ont immédiatement rappliqué à flot. Après dès qu'on arrive à mettre un parti à pleine citoyenneté c'est l'assimilation qui s'emballe.
En repartant de mon eternel exemple texan j'ai ttes les réformes sociales à fond dès 1838 (dictature militaire ou dans les faits je garde juste un droit d'interdiction). Je ramasses 1000 à 2000 hab par jour. A partir de 1845 ça s'arrête totalement.
Je me sert de mon droit d'interdiction pr favoriser le seul parti non esclavagiste. je le fais élire entre 1855 et 1860 et l'émancipation arrive. Les immigrants ont immédiatement rappliqué à flot. Après dès qu'on arrive à mettre un parti à pleine citoyenneté c'est l'assimilation qui s'emballe.
Tu as une stratégie intéressante ! Favoriser le parti non esclavagiste pour attirer des immigrants et encourager l'émancipation montre une vision astucieuse de l'expansion de ton territoire et de l'évolution de la société dans ce contexte historique.
Effectivement, en supprimant l'esclavage et en promouvant les réformes sociales, tu crées un cadre plus attractif pour les nouveaux arrivants. Le boom de l’immigration est très réaliste aussi : en période d'ouverture et de libéralisation, de nombreux immigrants arrivaient effectivement en masse aux États-Unis, attirés par les opportunités économiques et la promesse de liberté.
Effectivement, en supprimant l'esclavage et en promouvant les réformes sociales, tu crées un cadre plus attractif pour les nouveaux arrivants. Le boom de l’immigration est très réaliste aussi : en période d'ouverture et de libéralisation, de nombreux immigrants arrivaient effectivement en masse aux États-Unis, attirés par les opportunités économiques et la promesse de liberté.
Bonjour ! Je ne suis pas spécialiste de la question non plus, mais ayant moi-même vécu l’expérience d’immigration en m’installant au Québec, je peux te partager ce que j’ai compris en chemin. Déjà, la migration, qu’elle soit interne (genre, changer de région dans un même pays) ou externe (changer de pays), a plusieurs causes. Dans mon cas, c’était principalement pour des raisons économiques : un meilleur emploi, des salaires plus élevés, et, en gros, un niveau de vie supérieur. Mais en discutant avec d’autres immigrés ici, j’ai compris qu’il y a aussi des motivations très variées : certains fuient des situations politiques instables, d’autres viennent pour des raisons climatiques, comme ceux qui quittent des zones où les catastrophes naturelles sont plus fréquentes. Et puis, il y a ceux qui viennent pour des raisons familiales ou culturelles, pour rejoindre des proches ou parce qu’ils se sentent plus en adéquation avec les valeurs d’un autre pays.
Pour ce qui est de devenir citoyen, le parcours est vraiment balisé, et ça dépend beaucoup des lois de chaque pays. Par exemple, au Canada, où je vis, obtenir la citoyenneté implique d’abord de devenir résident permanent, puis d’habiter ici au moins 3 ans sur les 5 dernières. Il y a aussi des démarches fiscales (comme déclarer ses revenus), mais surtout des tests pour prouver tes compétences linguistiques, en français ou en anglais. Personnellement, j’ai dû passer le TCF Canada pour certifier mon niveau de français, vu que c’est une exigence pour l’immigration ici. Une fois que toutes les conditions sont remplies, il y a un examen de citoyenneté, qui porte sur l’histoire et les valeurs canadiennes, et finalement, on prête serment lors d’une cérémonie officielle.
Pour ceux qui ont des cas un peu particuliers, comme les enfants mineurs, les personnes adoptées, ou les militaires, il y a parfois des procédures spécifiques ou des accélérations possibles.
En gros, c’est un processus assez complexe, mais pas impossible à naviguer une fois qu’on comprend bien les étapes. Par contre, chaque pays a ses propres règles, donc il faut vraiment se renseigner spécifiquement selon où on souhaite s’installer. Ça donne déjà une première idée, mais il y a tellement de facettes à l’immigration que chaque expérience est un peu unique.