Après deux jours de prostration dans une de ses datchas, quand les Mikoyan, Khrouchtchev, Molotov, Beria viennent le voir, il est quand même persuadé qu'ils viennent le destituer et l'arrêter
mon hypothèse -sauvage pour le coup- est qu'ils ne seraient pas parvenu à s'entendre sur un nom, en tout cas pas de la manière que l'urgence exigeait, qu'il se trouvait en plus que la place n'était pas super-confortable, juste là en juin 41, avec les nazis qui envoient tout brinquebaler, et finalement que quand tout part à vau-l'eau, il faut faire le pari de se raccrocher à quelque chose.Khyron said:Ouaip, et je me suis souvent demandé pourquoi ils ne l'avaient pas fait...
Intosh said:Staline est non seulement abasourdi mais ne pas prendre la parole car il croit à une erreur du camp d'en face est proprement stupide.
Quand des centaines de milliers d'hommes envahissent ton pays, tu déclares de suite une guerre totale...
En juin 1941, Staline est choqué, non seulement car il voit son allié le trahir mais il en plus il a tellement peur pour sa vie, tellement parano qu'il est, qu'il se cache pour éviter que quelqu'un ne le bute car il se sent responsable de ce qui se passe. En plus, quand tu vois la formidable Armée Rouge littéralement exploser, tu te dis que c'est fini. Car je suis sûr que Staline recevait les rapports des massives démonstrations de joie des populations soviétiques accueillir en libérateurs les Allemands et des unités entières de l'Armée Rouge qui se débandent et qui se rendent.
Intosh said:Originally Posted by Intosh
Staline est non seulement abasourdi mais ne pas prendre la parole car il croit à une erreur du camp d'en face est proprement stupide.
Quand des centaines de milliers d'hommes envahissent ton pays, tu déclares de suite une guerre totale...
En juin 1941, Staline est choqué, non seulement car il voit son allié le trahir mais il en plus il a tellement peur pour sa vie, tellement parano qu'il est, qu'il se cache pour éviter que quelqu'un ne le bute car il se sent responsable de ce qui se passe. En plus, quand tu vois la formidable Armée Rouge littéralement exploser, tu te dis que c'est fini. Car je suis sûr que Staline recevait les rapports des massives démonstrations de joie des populations soviétiques accueillir en libérateurs les Allemands et des unités entières de l'Armée Rouge qui se débandent et qui se rendent.