L'intérêt principal des bombardements alliés n'a pas tant été dans leur efficacité stratégique - relative jusqu'en 44 - que dans le fait que, dès 41-42, ils ont détourné une part croissante de la Luftwaffe, en terme d'appareils comme en terme de productions.
La défaite allemande inéluctable dès 41, c'est (comme d'hab) discutable, et de toute façon indissociable des événements sur tous les fronts.
Une dernière chose, même si ce point n'est développé que par certains auteurs anti-staliniens (genre le "Brise-glace" de Suvorov), pour d'évidentes raisons, mais est considérée avec un sérieux relatif par plusieurs historiens, est que l'issue finale de 45 n'était peut-être pas écrite : Staline aurait recherché à plusieurs reprises, en 41, puis en 42, et même après Koursk, des possibilités d'accord avec l'Allemagne, possibilités écartées par Hitler d'abord pour des raisons de certitude en la victoire finale, puis de crainte que ces accords ne seraient qu'une trève avant une reprise du conflit à la seule initiative soviétique.
La défaite allemande inéluctable dès 41, c'est (comme d'hab) discutable, et de toute façon indissociable des événements sur tous les fronts.
Une dernière chose, même si ce point n'est développé que par certains auteurs anti-staliniens (genre le "Brise-glace" de Suvorov), pour d'évidentes raisons, mais est considérée avec un sérieux relatif par plusieurs historiens, est que l'issue finale de 45 n'était peut-être pas écrite : Staline aurait recherché à plusieurs reprises, en 41, puis en 42, et même après Koursk, des possibilités d'accord avec l'Allemagne, possibilités écartées par Hitler d'abord pour des raisons de certitude en la victoire finale, puis de crainte que ces accords ne seraient qu'une trève avant une reprise du conflit à la seule initiative soviétique.