aar grecque 18ème session
Les vacances
Eh oui comme tout le monde, le duc d’Athènes a aussi droit à des vacances. Toutefois pour ne pas laisser son pays livré à lui-même, il a veillé à ce qu’un humble serviteur s’occupe des affaires courantes du pays. Pour celà Konstantin Carthaginopoulos fut nommé régent du duc. Il se réparti fort bien de sa tâche et le duc en fut fort content lors de son retour. Le régent en fut remercié et une statue de lui dans le plus simple appareil à la coutume grecque fut érigée. Malheureusement les règles familiales du forum nous empêchant de la publier, nous ne pouvons vous faire partager cette immense et virile fierté grecque.
Pour son voyage à travers le monde, notre duc n’oublia pas d’envoyer à chaque escale une carte. Evidemment le départ fut donnée de la plus belle ville du monde, la ville aux dix-huit milles lumières, Athènes la belle.
Ensuite pour commencer à trouver repos et détente, la première escale fut Chambéry, chez notre allié Savoyard. Ah le lac, son calme, sa fraîcheur, sa beauté. Que ces moments furent doux et enchanteurs.
Pour faire le tour dans le sens des aiguilles d’une montre, l’étape suivante logique fut Pampelune, capitale de la perfide Navarre. Pouah ici le temps était maussade. Les gens étaient aigris. Ils venaient de perdre face à nos hommes et face aux savoyards. Etait ce notre faute ? Nous les avions prévenus maintes fois de suivre la meilleure voie, ils ne l’ont pas fait, ils en furent punis. Heureusement que les gens là bas ne savaient pas qui nous étions. Nous purent toutefois apprécier les majestueuses fortifications de la ville qui dominait la péninsule ibérique.
Nantes. Pas grand-chose à dire de cette civilisation insignifiante, qui veut apporter la paix dans le monde, qui crie haut et fort son désir de pacifisme et qui est derrière capable des pires choses en attaquant nos amis savoyards. Ils ont détruits la Chine, c’est bien là la seule fierté de ces pauvres pêcheurs bretons.
Là, la ville suivante, l’admiration est de mise. On découvre à Amsterdam toute les richesses que peuvent apporter les marchands de leur voyages aux Amériques, en Asie et en Océanie. Des fourrures, des épices, des porcelaines, des produits qui illuminent la ville, lui permettent une expansion rapide mais surtout font de la Hollande le pays le plus riche du monde. Nous observons cela avec attention et avec défiance, ce pays est malhonnête et fourbe. Sa technologie est développée. Il est en avance sur nous tous, nous lui devons respect, mais nous ne le pouvons pas.
Quel horreur. Nous arrivons dans une capitale en ruine, un pays totalement à l’abandon, ruiné, désordonné, sans aucun dirigeant pour remonter la pente. La saxe a perdu des guerres, Dresde a été ravagé par des troupes ennemies plus d’une fois, les hordes des kazakhs ont détruit la ville, et rien depuis n’a été reconstruit. La duré de notre séjour y fut très court.
Dernière étape, notre voisin Polonais. Un passage pas Varsovie, pour la découverte d’une histoire ancienne mais justement d’un pays qui ne vie plus que l’ancienneté d’une gloire perdue. Quel gâchis de voir un pays si puissant, si prometteur en être réduit à faire l’aumône auprès des riches hollandais pour survivre. Leurs menaces anciennes de guerre nous font encore aujourd’hui sourire.
Retour au bercail, la statue de Konstantin érigée, il est temps de reprendre les affaires en main et de montrer au monde qu’il faudra faire avec la puissance Athénienne.